Nostradamus n’a qu’à bien se tenir !

Voici une citation du 3° président des États-Unis d’Amérique (de 1801 à 1809) extraite d’une lettre à son secrétaire du trésor Albert Gallatin

Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques  priveront les gens de  toute possession, d’abord par l’inflation, ensuite par la récession,  jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis

Thomas Jefferson (1802)

Fortich, non ?